De Playa Lagartos à El Faro de Bucerias, Michoacan

 Dimanche le 30 janvier 2022, Jour 63. De Playa Lagartos à El Faro de Bucerias, Michoacan. 162 km.

 

Départ vers 8h45 ce matin.  La route est très sinueuse. On roule en moyenne à 40 km/h tout au plus. Mais le paysage est beau : bords de mer, montagnes, falaises, estuaires sablonneux, plantations de cocos, de manguiers et de plus en plus de papayiers.

 

Nous arrivons à Maruata 2h30 plus tard et allons directement au petit camping où l’on était allés Hélène et moi il y a quatre ans.  Mais cela a bien changé et en agrandissant la palapa pour mettre plus de tentes, les propriétaires ont éliminé les espaces pour VR. On aurait pu essayer de placer les deux VR dans leur stationnement de maison de l’autre côté de la route mais cela ne convenait pas vraiment à tous : Au soleil, sable mou, mauvais feeling, etc. Tant pis!

 

Nous ne trouvons pas d’autre camping qui nous satisfasse vraiment à Maruata et donc nous décidons de luncher et d’aller plus au nord à El Faro où Paule et Martin ont campé à plusieurs reprises.  Un autre 45 minutes de route et nous voilà rendus. Cela me fait un peu de peine de manquer les trois belles baies de Maruata mais El Faro est vraiment joli aussi et nous ne connaissions pas.

 

Nous nous installons au dernier camping au nord de la plage, celui que Martin et Paule ont toujours utilisé. Nous sommes bien et avons toute la grande palapa pour nous.

Vers 15h, nous partons vers le sud de la plage où les vagues sont plus petites et où on peut se baigner sans danger.  Nous prenons une table à l’ombre dans un resto et allons tour à tour nous baigner et, pour Martin et moi, aller regarder les poissons colorés autour des rochers.

Nous revenons vers 17h au camping et après la douche c’est l’heure de l’apéro et des entrées en admirant le coucher de soleil sur la mer et les rochers.

 

Nous soupons ensuite sous la palapa en regardant le ciel devenir orange puis rouge vif avant de se fondre graduellement dans la nuit et les étoiles naissantes.

 

Nous rentrons pour la vaisselle vers 21h et ensuite blogue et lecture avant de se coucher. Pas de signal cellulaire et pour internet il aurait fallu acheter une carte à l’épicerie locale. Tant pis. Moins de nouvelles et moins de courriels ce soir. Ça ira à demain.