Samedi le 4 décembre 2021, Jour 6. De Laredo, Tx à Saltillo, Coahuila, Mexique. 320 km.
Nous nous levons un peu avant 6h après une bonne nuit de sommeil. Nous partons à 7h30 avec nos amis Paule et Martin et rejoignons le Pont international II au centre-ville de Laredo.
On commence par payer le passage sur le pont qui enjambe le Rio Grande. De l’autre côté, les douaniers fouillent sommairement nos véhicules avec une grande délicatesse et politesse.
Ensuite c’est un peu compliqué pour se rendre le long de la rivière entre les ponts I et II, aux bureaux d’immigration et de Banjercito. Difficile à expliquer mais disons qu’il faut faire un virage en U sur le boulevard qui longe la rivière et c’est pas évident du tout la première fois.
Aux bureaux d’immigration, cela prend une quinzaine de minutes pour compléter les formulaires et effectuer notre paiement de 600 pesos par personne environ (40$) pour nous procurer des cartes de tourisme valides pour six mois.
Nous roulons ensuite jusqu’à Monterey où nous faisons un court arrêt, puis jusqu’aux Galerias de Saltillo où nous arrivons vers 12h30.
Notre plan était de nous rendre à Matehuala aujourd’hui et donc nous faisons le plus vite possible pour retirer des pesos au guichet automatique du Walmart puis nous acheter des cartes sim et des forfaits cellulaires chez Telcel. Pendant que Martin et moi attendons patiemment chez Telcel, les femmes en profitent pour faire quelques courses au Walmart : petites sauces, arachides piquantes, Tequila 1800 añejo, cerveza, vino, etc. L’essentiel quoi!
Mais comme le service est très lent et très inefficient chez Telcel, il est deux heures quand nous avons terminé nos achats. Et nous avons faim.
Hélène et moi proposons à nos amis de plutôt coucher ici à Saltillo ce soir et de moins se stresser avec la route. Le voyage est commencé et il faut profiter du bon temps.
Nous prenons donc un espace de camping à l’hôtel Imperial, tout près de là. On y avait déjà couché à plusieurs reprises. Rien de bien sexy mais très commode quand on est fatigués et qu’on ne veut pas rouler de nuit ni stresser à penser que cela se pourrait en cas de pépin sur la route.
Nous lunchons un peu et cela va au souper vers 18h pour le vrai gros repas.
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